Depuis des générations, les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » appliquent un principe simple « laisser faire la nature » et s’adapter au mieux aux exigences et aux bienfaits de celle-ci.
Races bouchères locales, alimentation saine et naturelle, fermes à taille humaines, … autant d’atouts qui confèrent à cette viande toutes ses lettres de noblesses.
Une fois par an, chaque vache donne naissance à un veau. Ce dernier se nourrit du lait de sa mère, qu’il tète plusieurs fois par jour. Naturellement, au fil des mois, le veau complète son alimentation par des fourrages et de céréales, s’adaptant ainsi à la baisse progressive de lait de sa mère. Les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » respectent ce rythme et offrent progressivement à leurs animaux, en complément du lait de leur mère, du foin et des céréales « non-OGM » produits sur la ferme (ou aux alentours). Cette alimentation variée (lait maternel, foin, céréales) répond aux besoins physiologiques des veaux jusqu’à leur départ de la ferme.
Une fois par an, chaque vache donne naissance à un veau. Ce dernier se nourrit du lait de sa mère, qu’il tète plusieurs fois par jour. Naturellement, au fil des mois, le veau complète son alimentation par des fourrages et de céréales, s’adaptant ainsi à la baisse progressive de lait de sa mère. Les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » respectent ce rythme et offrent progressivement à leurs animaux, en complément du lait de leur mère, du foin et des céréales « non-OGM » produits sur la ferme (ou aux alentours). Cette alimentation variée (lait maternel, foin, céréales) répond aux besoins physiologiques des veaux jusqu’à leur départ de la ferme.
Limousines, Blondes d’Aquitaine, Aubrac, Salers, Gasconnes, Charolaises, Croisées, sont les principales races bouchères utilisées pour la production de « Veau d’Aveyron et du Ségala ». Implantées localement depuis de nombreuses années, ces races sont parfaitement adaptées aux conditions d’élevage du Ségala. Ces vaches valorisent les pâturages du Ségala et leurs grandes qualités maternelles leur permettent de produire du lait de qualité en quantité suffisante pour nourrir leur veau jusqu’à 8/10 mois (âge naturel du sevrage chez les bovins). Elles présentent également des qualités bouchères qui permettent d’obtenir une viande de veau de haute qualité tant d’un point de vue gustatif que sensoriel.
Quotidiennement, les éleveurs donnent toute leur énergie et leur passion pour offrir à leurs animaux des conditions d’élevage optimales. Gestion des pâtures, culture des fourrages et des céréales, entretien et nettoyage des bâtiments, observation du troupeau, suivi des naissances, soins aux animaux … sont autant de savoir-faire qu’ils mettent au service de la qualité.
Limousines, Blondes d’Aquitaine, Aubrac, Salers, Gasconnes, Charolaises, Croisées, sont les principales races bouchères utilisées pour la production de « Veau d’Aveyron et du Ségala ». Implantées localement depuis de nombreuses années, ces races sont parfaitement adaptées aux conditions d’élevage du Ségala. Ces vaches valorisent les pâturages du Ségala et leurs grandes qualités maternelles leur permettent de produire du lait de qualité en quantité suffisante pour nourrir leur veau jusqu’à 8/10 mois (âge naturel du sevrage chez les bovins). Elles présentent également des qualités bouchères qui permettent d’obtenir une viande de veau de haute qualité tant d’un point de vue gustatif que sensoriel.
Quotidiennement, les éleveurs donnent toute leur énergie et leur passion pour offrir à leurs animaux des conditions d’élevage optimales. Gestion des pâtures, culture des fourrages et des céréales, entretien et nettoyage des bâtiments, observation du troupeau, suivi des naissances, soins aux animaux … sont autant de savoir-faire qu’ils mettent au service de la qualité.
« Il ne peut y avoir une viande de qualité sans bien-être des animaux. »
Au quotidien, les éleveurs portent attention à chaque animal de leur troupeau et veillent à offrir à chacun d’eux les conditions qui leur permettent d’exprimer leur comportement naturel.
Définition du bien-être animal par l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE)
« On entend par bien-être la manière dont un animal évolue dans les conditions qui l’entourent. Le bien-être d’un animal est considéré comme satisfaisant si les critères suivants sont réunis : bon état de santé, confort suffisant, bon état nutritionnel, sécurité, possibilité d’expression du comportement naturel, absence de souffrances telles que douleur, peur ou détresse. Le bien-être animal requiert les éléments suivants : prévention et traitement des maladies, protection appropriée, soins, alimentation adaptée, manipulations réalisées sans cruauté, abattages effectués dans des conditions décentes »
« Il ne peut y avoir une viande de qualité sans bien-être des animaux. »
Au quotidien, les éleveurs portent attention à chaque animal de leur troupeau et veillent à offrir à chacun d’eux les conditions qui leur permettent d’exprimer leur comportement naturel.
Définition du bien-être animal par l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE)
« On entend par bien-être la manière dont un animal évolue dans les conditions qui l’entourent. Le bien-être d’un animal est considéré comme satisfaisant si les critères suivants sont réunis : bon état de santé, confort suffisant, bon état nutritionnel, sécurité, possibilité d’expression du comportement naturel, absence de souffrances telles que douleur, peur ou détresse. Le bien-être animal requiert les éléments suivants : prévention et traitement des maladies, protection appropriée, soins, alimentation adaptée, manipulations réalisées sans cruauté, abattages effectués dans des conditions décentes »
Les veaux d’Aveyron et du Ségala naissent sur la ferme et grandissent auprès de leur mère. Ils vivent ensemble, au sein du troupeau, dans un environnement adapté à leur espèce.
Tout au long de leur vie, les animaux du troupeau reçoivent une alimentation adaptée à leurs besoins. Au cours des 2/3 premiers mois, les veaux privilégient principalement le lait maternel, qu’ils tètent plusieurs fois par jour. Puis au fur et à mesure de leur croissance, ils diversifient leur alimentation et y ajoutent des fourrages et des céréales. C’est au maximum vers 10 mois qu’ils abandonnent définitivement les tétées, on parle communément de « sevrage » et deviennent des ruminants à part entière.
Les veaux naissent sur la ferme et grandissent auprès de leur mère. Ils vivent ensemble, au sein du troupeau, dans un environnement adapté à leur espèce.
Tout au long de leur vie, les animaux du troupeau reçoivent une alimentation adaptée à leurs besoins. Au cours des 2/3 premiers mois, les veaux privilégient principalement le lait maternel, qu’ils tètent plusieurs fois par jour. Puis au fur et à mesure de leur croissance, ils diversifient leur alimentation et y ajoutent des fourrages et des céréales. C’est au maximum vers 10 mois qu’ils abandonnent définitivement les tétées, on parle communément de « sevrage » et deviennent des ruminants à part entière.
Tout est fait pour que les veaux d’Aveyron et du Ségala grandissent paisiblement. La présence de leur mère les rassure et l’organisation des bâtiments leur permet de se mettre au calme entre deux tétées. Tous les jours, les éleveurs sont auprès de leur troupeau pour assurer surveillance et soins ; et vérifier qu’il de manque de rien. Au fil du temps une relation sans stress et protectrice se construit entre eux.
Lumière naturelle, air frais, espace, … les éleveurs mettent tout en œuvre, en fonction des saisons, pour le confort de leurs animaux afin qu’ils ne souffrent ni du chaud, ni du froid. En renouvelant régulière leur lit de paille, en limitant les courants d’air, … les éleveurs maintiennent une ambiance propre et saine qui éloigne les maladies.
Tout est fait pour que les veaux grandissent paisiblement. La présence de leur mère les rassure et l’organisation des bâtiments leur permet de se mettre au calme entre deux tétées. Tous les jours, les éleveurs sont auprès de leur troupeau pour assurer surveillance et soins ; et vérifier qu’il de manque de rien. Au fil du temps une relation sans stress et protectrice se construit entre eux.
Lumière naturelle, air frais, espace, … les éleveurs mettent tout en œuvre, en fonction des saisons, pour le confort de leurs animaux afin qu’ils ne souffrent ni du chaud, ni du froid. En renouvelant régulière leur lit de paille, en limitant les courants d’air, … les éleveurs maintiennent une ambiance propre et saine qui éloigne les maladies.
Depuis de plusieurs décennies, les Ségalis (habitants du Ségala !) se soucient de la préservation de leur environnement ! En faisant pâturer les prairies autour de leur ferme, en valorisant le fumier de leur étable pour fertiliser naturellement les sols, ils ont maintenu et maintiennent encore un paysage de bocage si typique du Ségala en Aveyron. Prairies naturelles, champs de céréales, haies, sols vivants … sont autant de réservoirs de biodiversité qu’ils s’attellent à préserver.
Pour préserver une alimentation naturelle et locale, dès les années 2000, les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » ont refusé la présence de céréales OGM dans l’alimentation de leur veau. Ils ont mis en place un système de traçabilité et de contrôle pour garantir une alimentation non-OGM (< 0.9%). Pour satisfaire leurs engagements, ils produisent autant que possible les céréales sur leur exploitation et favorisent un approvisionnement local, notamment pour les protéines végétales comme le colza.
Depuis de plusieurs décennies, les Ségalis (habitants du Ségala !) se soucient de la préservation de leur environnement ! En faisant pâturer les prairies autour de leur ferme, en valorisant le fumier de leur étable pour fertiliser naturellement les sols, ils ont maintenu et maintiennent encore un paysage de bocage si typique du Ségala en Aveyron. Prairies naturelles, champs de céréales, haies, sols vivants … sont autant de réservoirs de biodiversité qu’ils s’attellent à préserver.
Pour préserver une alimentation naturelle et locale, dès les années 2000, les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » ont refusé la présence de céréales OGM dans l’alimentation de leur veau. Ils ont mis en place un système de traçabilité et de contrôle pour garantir une alimentation non-OGM (< 0.9%). Pour satisfaire leurs engagements, ils produisent autant que possible les céréales sur leur exploitation et favorisent un approvisionnement local, notamment pour les protéines végétales comme le colza.
Tournés vers l’avenir, inspirés des bonnes pratiques du passé, les éleveurs privilégient les techniques respectueuses de l’environnement : association de légumineuses et de céréales pour favoriser les synergies naturelles, techniques d’observation de la pousse de l’herbe pour offrir à leur vache la meilleure herbe au meilleur moment, organisation de rotation de pâture, limitation du travail du sol pour conserver son biotope, … L’environnement est plus que jamais au cœur de l’élevage de Veau d’Aveyron et du Ségala.
Les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » sont également engagés dans la transition énergétique. Depuis une vingtaine d’années, de nombreuses fermes ont fait le choix de la production d’électricité photovoltaïque sur le toit de leurs étables. Ainsi plus de 30 000 m² de panneaux sont installés et ont une production annuelle de 3,8 millions de kilowatts, soit la consommation énergétique de 400 maisons individuelles.
Tournés vers l’avenir, inspirés des bonnes pratiques du passé, les éleveurs privilégient les techniques respectueuses de l’environnement : association de légumineuses et de céréales pour favoriser les synergies naturelles, techniques d’observation de la pousse de l’herbe pour offrir à leur vache la meilleure herbe au meilleur moment, organisation de rotation de pâture, limitation du travail du sol pour conserver son biotope, … L’environnement est plus que jamais au cœur de l’élevage de Veau d’Aveyron et du Ségala.
Les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » sont également engagés dans la transition énergétique. Depuis une vingtaine d’années, de nombreuses fermes ont fait le choix de la production d’électricité photovoltaïque sur le toit de leurs étables. Ainsi plus de 30 000 m² de panneaux sont installés et ont une production annuelle de 3,8 millions de kilowatts, soit la consommation énergétique de 400 maisons individuelles.
Dès les années 2000, les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » ont souhaité agir en faveur de l’environnement. La mise en place d’une grille d’évaluation a permis et permet encore de sensibiliser, d’encourager et de mesurer les progrès de chaque ferme.
En 2020, un nouveau a pas a été franchi avec l’engagement d’un croissant d’éleveurs dans la démarche « Haute Valeur Environnementale » (HVE). Ce label, reconnu par le ministère de l’Agriculture certifie les exploitations ayant des pratiques vertueuses envers l’environnement. Les exploitations HVE sont reconnues pour avoir une gestion qui favorise la biodiversité et limite les intrants afin de préserver les sols, l’eau et l’air. Les éleveurs engagés dans cette démarche sont contrôlés régulièrement pour vérifier qu’ils respectent bien leur engagement. Cet engagement vient compléter leurs engagements Label Rouge et IGP.
Dès les années 2000, les éleveurs de « Veau d’Aveyron et du Ségala » ont souhaité agir en faveur de l’environnement. La mise en place d’une grille d’évaluation a permis et permet encore de sensibiliser, d’encourager et de mesurer les progrès de chaque ferme.
En 2020, un nouveau a pas a été franchi avec l’engagement d’un croissant d’éleveurs dans la démarche « Haute Valeur Environnementale » (HVE). Ce label, reconnu par le ministère de l’Agriculture certifie les exploitations ayant des pratiques vertueuses envers l’environnement. Les exploitations HVE sont reconnues pour avoir une gestion qui favorise la biodiversité et limite les intrants afin de préserver les sols, l’eau et l’air. Les éleveurs engagés dans cette démarche sont contrôlés régulièrement pour vérifier qu’ils respectent bien leur engagement. Cet engagement vient compléter leurs engagements Label Rouge et IGP.